La France est au fond du trou. Et le trou continue d’être creusé jour après jour par une bande de traîtres au service de la Haute Finance apatride, malveillante,
corruptive, névrosée, tyrannique et nihiliste.
La France est étranglée par la dette, détruite énergétiquement, défigurée urbanistiquement, ses paysages pollués, ses terres et ses biens pillés par les étrangers.
Son peuple est anéanti économiquement, pulvérisé socialement, submergé et remplacé racialement et culturellement, humilié, martyrisé, abandonné, déboussolé.
Il sera peut-être impossible de retrouver la France éternelle mais il faudra quand même essayer de rendre à la France sa grandeur.
Voici ce qui devra être fait...
Depuis cinquante-six ans au moins, la France est un pays occupé et subit une tyrannie bolchévique.
La répression est terrible. Ainsi, certaines mesures sont censurées partiellement ou entièrement.
La France est tombée si bas qu'elle ne se relêvera que par des actions radicales. Très radicales.
Et n'oublions pas que derrière chaque problème, il y a un nom et un prénom, disait Staline.
Pour savoir qui vous dirige vraiment, regardez qui vous ne pouvez pas critiquer.
Un nouveau site officiel de l’État, France.gouv.fr, est créé avec :
Liminaire :
Les Contraventions sont des infractions peu graves, mais pénibles voire négatives pour le bon fonctionnement et la sanité de la société.
Ils doivent être punis sévèrement, par une grosse amende, pour mettre dans le droit chemin la personne et surtout dissuader les autres de commettre une telle infraction.
Une contravention répétée se transforme en délit.
Les Délits sont des infractions particulièrement négatives voire grave pour le bon fonctionnement et la sanité de la société. Leur généralisation impliquerait la
destruction à moyen-long terme de la société tout entière. Ils doivent être lourdement punis, par une grosse amende et de la prison. Un délit répété se transforme en crime.
Tout délit fait l’objet d’une garde à vue et d’une perquisition au domicile.
Les Crimes sont des infractions très grave pour le bon fonctionnement et la sanité de la société. Les crimes peuvent rapidement provoquer la dislocation de la société,
même si ceux-ci sont peu nombreux. Ils doivent être punis de la peine de mort, ou, si les circonstances l’obligent, d’une détention à perpétuité (sans remise de peine possible).
Tout crime fait l’objet d’une garde à vue et d’une perquisition au domicile.
Il n’y a jamais de remise de peine possible, même pour « bonne conduite en prison », ni d’allègement de l’amende. Il peut en revanche y avoir une aggravation de la peine si le
détenu se comporte mal. Cela peut aller jusqu’à la peine de mort (si tentative d’évasion, tentative de meurtre d’un gardien ou d’un autre détenu, etc.).
Lors d’un jugement, il n’est jamais pris en compte le contexte de l’accusé (son histoire familiale, sa situation professionnelle, sa situation familiale…). Le jugement ne se base
que par rapport à l’infraction commise.
Si l’accusé est un mineur, moins de vingt ans, la peine reste exactement la même. Mais en plus de cette peine,
les parents subiront une amende de 1 000, 5 000 ou 50 000 francs (respectivement Contravention, Délit, Crime) pour mauvaise éducation. Par ailleurs,
les mineurs vont dans les mêmes prisons que les majeurs et sont traités de la même façon.
Si plusieurs peines peuvent se cumuler, l’on ne conserve que la plus grosse peine (exemple : si quelqu’un réalise à la fois
un homicide involontaire et une destruction d’un bien, il n’est condamné que de la peine liée à l’homicide involontaire).
Qu’elle soit commise individuellement ou en réunion, l’infraction entraîne la même peine : chaque contrevenant répondra personnellement de ses actes selon les dispositions prévues pour une infraction isolée.
La « prison avec sursis » n’existe pas. Soit il y a de la prison, soit il n’y en a pas.
Les « aménagements de peine » n’existent pas. Amende. Prison. Peine de mort.
Si l’accusé est manifestement en proie à la folie ou privé de sa raison, cela constitue une circonstance aggravante.
L’avocat peut assister son client en amont et en aval du procès mais n’a pas le droit de plaider lors de celui-ci. C’est à l’accusé d’une contravention, d’un délit ou d’un crime de
parler ou de se taire.
Il est impossible d’échapper à la prison en proposant une somme d’argent ou autre.
Du fait de la sévérité des peines, il est absolument primordial que l’infraction soit belle et bien constatée, avec des preuves à l’appui. Tout cela sera consigné méticuleusement.
Rien ne peut remettre à zéro un casier judiciaire d’une personne, même pas une grâce présidentielle. N’importe qui peut demander à la Préfecture de connaître son casier judiciaire.
Il est impossible de faire appel d’un jugement.
Il n’est pas possible de faire un recours à la Cour de cassation. Toutefois, automatiquement, la Cour de cassation vérifie le bien fondé des jugements prononcés eu
égard aux délits et aux crimes, et aux cas complexes.
Tableau :
Infraction | Peine |
---|---|
Contraventions | |
Non-respect d’une règle de stationnement | 1 000 francs |
Absence d’assurance sur un véhicule utilisé | 5 000 francs |
Recourir à la prostitution | 5 000 francs |
Comportement inacceptable (cries répétés, crachats, mini-agressions, fumer dans un lieu public, jeter ses ordures dans la rue, être saoul dans un lieu public…) | 1 000 francs |
Tapage diurne | 1 000 francs |
Tapage nocturne | 2 000 francs |
Non-respect des règles de conduite (stop, feu rouge, sens interdit…), conduite dangereuse (téléphone, alcool, etc.) | 2 000 à 5 000 francs |
Petit excès de vitesse (> 10 km/h) | 1 000 francs |
Excès de vitesse modéré (> 25 km/h) | 3 000 francs |
Gros excès de vitesse (> 40 km/h) | Mise en fourrière du véhicule, retrait du permis, interdiction de rouler pendant 2 ans et 5 000 francs |
* * * | |
Deuxième contravention constatée | Multiplication par trois de l’amende prévue |
Troisième contravention constatée | Multiplication par dix de l’amende prévue |
N-ième contravention constatée | Multiplication par vingt de l’amende prévue et 1 an de prison |
Délit | |
Vol, sans usage d’arme, sans violence | Remboursement du vol (ou 10 000 francs) et 1 an de prison |
Vol, sans usage d’arme, avec violence | Remboursement du vol (ou 50 000 francs) et 5 ans de prison |
Vol, avec usage d’arme | Remboursement du vol (ou 200 000 francs) et 10 ans de prison |
Destruction ou détérioration involontaire d’un bien (abris bus, mur, vitre, voiture, vélo…) | Remboursement de la destruction (ou 10 000 francs) |
Destruction ou détérioration volontaire d’un bien (abris bus, mur, vitre, voiture, vélo, câbles électriques…), dont graffiti ou collage d’affiches ou de stickers | Remboursement de la destruction (ou 50 000 francs) et 5 ans de prison |
Tentative d’escroquerie | 10 000 francs et 1 an de prison |
Escroquerie | Remboursement de l’escroquerie (ou 200 000 francs) et 10 ans de prison |
Rouler sans détenir le permis de conduire | Mise en fourrière du véhicule, 10 000 francs et 1 an de prison |
Séquestration d’une personne | 200 000 francs et 10 ans de prison |
Homicide involontaire, sans circonstance aggravante (infraction commise, responsable d’un accident, manque de prudence, manque de sécurité, sous emprise d’alcool ou de stupéfiant, sans permis, délit de fuite…) | 10 000 francs |
Homicide involontaire, avec circonstance aggravante (infraction commise, responsable d’un accident, manque de prudence, manque de sécurité, sous emprise d’alcool ou de stupéfiant, sans permis, délit de fuite…) | 200 000 francs et 10 ans de prison |
Menaces de violences, menaces de destruction de biens ou menaces de mort, même de manière sous-entendue | 200 000 francs et 10 ans de prison |
Outrage à agent | 50 000 francs et 1 an de prison |
Refus d’obtempérer, délit de fuite | 100 000 francs et 5 ans de prison |
Détention d’une arme sans posséder le permis de port d'armes | Suspension à vie du port d'armes, confiscation de ladite arme, 50 000 francs et 1 an de prison |
Agression, sans usage d’arme | 100 000 francs et 5 ans de prison |
Agression, avec usage d’arme | 200 000 francs et 10 ans de prison |
Atteinte à la vie privée (diffusion d’images privées ou d’audios, voyeurisme…) | 200 000 francs et 10 ans de prison |
Abus de confiance, abus de faiblesse | Remboursement (ou 100 000 francs) et 5 ans de prison |
Abus de biens sociaux | Remboursement (ou 200 000 francs) et 10 ans de prison |
Squat d’un bien non-habité | Délogé manu-militari, 10 000 francs et 1 an de prison |
Squat d’un bien habité | Délogé manu-militari, 100 000 francs et 5 ans de prison |
Loyer impayé pendant au moins deux mois | Délogé manu-militari, remboursement des montants impayés (ou 10 000 francs) et 1 an de prison |
Tentative d’effraction d’un bien | 50 000 francs et 1 an de prison |
Effraction d’un bien, sans violence | 100 000 francs et 5 ans de prison |
Effraction d’un bien, avec violence | 200 000 francs et 10 ans de prison |
Effraction ou tentative d’effraction d’un bien critique de l’État (centrale électrique, Entreprise d’État, Préfecture…) | 500 000 francs et 15 ans de prison |
* * * | |
Deuxième délit constaté | Multiplication par trois de l’amende prévue |
Troisième délit constaté | Multiplication par dix de l’amende prévue et 25 ans de prison |
N-ième délit constaté | Multiplication par vingt de l’amende prévue et 100 ans de prison |
Crime | |
Sabotage (détérioration ou destruction d’un bien pouvant provoquer des blessures ou la mort d’autrui a posteriori ; sabotage d’une voie ferrée, d’un conduit de gaz, d’une usine d’eau potable, d’un balcon, d’un toit, d’un véhicule, d’une machine…) | Remboursement du sabotage (ou 500 000 francs) et 25 ans de prison / peine de mort si circonstance aggravantes (tentative de crime de masse, atteinte à la sureté de l’état, atteinte à une centrale nucléaire ou un site militaire...) |
Incendie volontaire d’un lieu naturel | 25 ans de prison / peine de mort si circonstances aggravantes (dégâts importants, atteinte aux personnes…) |
Traffic de drogue, trafic d’organes, trafic de substances dangereuses, trafic d’êtres humains | 25 ans de prison / peine de mort si circonstances aggravantes (grosse quantité, profil instable, violence, meneur de réseau…) |
Trahison (venant d’un fonctionnaire ou militaire de base) | 25 ans de prison / peine de mort si circonstances aggravantes |
Haute trahison (venant d’un haut fonctionnaire, ou militaire de haut rang) | Peine de mort |
Meurtre / Assassinat | Peine de mort |
Tentative de meurtre / assassinat | Peine de mort / 100 ans de prison |
Viol | Peine de mort |
Tentative de viol | Peine de mort / 100 ans de prison |
Depuis 1945, marqué symboliquement et matériellement par la destruction de grandes villes françaises par les avions anglais et américains, le
territoire français subit une destruction délibérée sur le plan urbanistique et architectural.
Une destruction symbolisée par des architectes complètements tarés et catastrophiques, imprégnés par la théorie fumeuse du « déconstructivisme »,
comme : Jean Nouvel, Renzo Piano, Frank Gehry, Zaha Hadid, Richard Rogers, Roland Castro, Paul Chemetov, Norman Foster, Ieoh Ming Pei, Paul Andreu,
Jean-Marie Charpentier, Manuelle Gautrand, Nicolas Michelin, Dominique Perrault, Christian de Portzamparc, Frédéric Borel, Rem Koolhaas, Winy Maas, Jean-Paul Viguier,
David Mangin, Jean-Michel Wilmotte, descendants spirituels de Le Corbusier, Jacques Derrida, Frank Lloyd Wright et Ludwig Mies van der Rohe.
En plus des cas généraux présentés dans la partie Aménagement du territoire, Architecture, voici ci-après des cas d’aménagements plus précis.
Le cas de Paris :
Le cas de Saint-Denis :
Le cas de Boulogne-Billancourt
Le cas de Nanterre
Le cas d'Issy-les-Moulineaux
Le cas de Puteaux / Courbevoie / Rambouillet :
Le cas de Nantes :
Le cas de Rezé :
Le cas de Saint-Herblain :
Le cas de Rouen :
Le cas de Tulle :
Le cas de Bordeaux :
Le cas de Rennes :
Le cas de Marseille :
Le cas de Mulhouse :
Le cas de Strasbourg :
Le cas d'Avignon :
Le cas de Poissy :
Le cas de Lyon :
Le cas de Nancy :
Le cas de Lille :
Routes :
Un jour, dans une université, un professeur d’économie fut interpellé par ses élèves qui soutenaient avec ardeur les bienfaits du communisme. Selon eux, dans un système juste, tout le monde devait recevoir la même part, peu importe les efforts fournis.
Le professeur, avec un sourire de chat qui sait, leur proposa une expérience :
« Très bien, mes chers élèves. Cette année, nous allons expérimenter le communisme dans cette classe. Pour chaque examen, toutes vos notes seront additionnées, puis la moyenne sera redistribuée à chacun. Ainsi, plus de hautes ou de basses notes : tous égaux. »
Les élèves, tout excités, applaudirent l’idée.
Au premier examen, les bons élèves travaillèrent comme d’habitude, tandis que les moins assidus fournirent peu d’efforts. La moyenne fut de 14/20, et chacun reçut... 14/20.
Les élèves qui avaient étudié dur furent contrariés. Pourquoi se fatiguer si tout le monde obtient la même note ?
Au second examen, les bons étudiants travaillèrent moins, et les paresseux ne changèrent rien. La moyenne tomba à 10/20.
Au troisième, plus personne ne fit d’effort. La moyenne descendit à 6/20. Tout le monde échoua.
Le professeur déclara alors :
« Voilà, mes amis, ce que produit le communisme académique : personne ne réussit, car nul n’est incité à donner le meilleur de soi. L’égalité forcée nivelle par le bas, décourage l’excellence, et finit par dessécher l’ardeur. »